MIMI MUYITA : Du Canada au Kongo-central: Qui est-elle au juste?
Elle vit au Canada depuis 2007, dans la province de Québec. Après avoir obligé le prêtre qui l'avait amené au Canada d'abandonner la soutane pour l'épouser et aussitôt que son parrainage avait réussi, elle accusa l'ex prêtre de viol et de violence conjugale. Pendant les déboires judiciaires de l'ex prêtre, elle va refaire sa vie avec un burkinabé (un très grand trafiquant de drogues).
Elle fut arrêtée avec son amant pour trafic de drogue et falsification des chèques, ils ont été condamnés. A sa sortie de prison, elle l'y est retournée pour vol à l'étalage au magasin La baie. Elle a ensuite vécu avec 3 congolais (2 à Montréal et 1 à Hull ) qu'elle accusa tous de viol et de violence conjugale. Elle va changer des villes.
À Ottawa, elle va rencontrer un ex-ministre qui se plaignait de la disparition de ses cartes des crédits, elle va à son tour l'accuser de viol et de violence conjugale. A chacune de ses plaintes pour viol et violence conjugale, elle négocie le retrait de la plainte entre 7 000$ et 15 000$.
Poursuivie par un haïtien pour le lui avoir vendu un véhicule et une télé volés, elle a fui le Canada pour le Congo. À son arrivée à Kinshasa, elle s'était fait passer pour une très grande combattante Mushi (alors que son père est de Bandundu et sa mère est du Kongo-Central).
Elle voulait travailler d'abord pour la Fondation Forte ensuite comme conseillère à la présidence de la république. Après l'échec de ses démarches, elle allant offrir ses services au Gouverneur du Kongo-Central.
Et... la suite, on la connaît !!!
Charles Beboka
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